Héra: Fille de Cronos et de Rhéa, soeur et derniére épouse de Zeus, elle était la Déesse du Mariage. Héra a fait partie de l'histoire de la Pomme d'or, elle n'a pas été choisie, du coup elle s'est mise du côté des Troyens.
Voici un poème sur Héra:
Poème olympien 9: Héra
De toute les déesses qui vivent dans les cieux,
De toutes ces déesses aux charmes si précieux,
Qui allient au corps pur une âme bien sereine,
Pour toutes celles-là il n’y a q’une reine.
Tu es Zeus-père la femme légitime,
Mais tous ses adultères devinrent tes intimes,
Quelle cruelle ironie déesse du mariage,
Que ton mari t’offrit d’incessants cocuages.
Pourtant de tant d’atouts la nature t’a doté,
Seul un aveugle fou pourrai nier ta beauté,
Et lorsque ton mari t’accordera ses caresses,
Les fruits de vos amours furent de grands dieux de Grêce
Mais combien, Ô Héra, furent grandes tes colères,
Envers celles qui à Zeus avaient malheur de plaire,
Et lo ou bien Léto ou encore Sémélé,
Ont vu que leur amour à l’horreur s’est mélé.
Ô toi que l’on surnomme Héra aux yeux de vache,
Qui devant tes fureurs se lâche,
Qui face à ta grandeur saurait bien s’imposer,
Lorsque l’on sait qu’à Zeus tu osais t’opposer ?
Incomparable Héra, moins déesse que femme,
Liée comme tant d’autres à un mari infâme,
Mais qui décélerait une once de faiblesse,
Au fond de tes grands yeux ou plonge la noblesse ?
Poème de Alexandre-Glaucos:
http://poemes.iceteapeche.com/poemes/Alexandre_glaucos/divers/29299_Portrait_Olympien_9_Hera.php
Manon Laz.
Voici un poème sur Héra:
Poème olympien 9: Héra
De toute les déesses qui vivent dans les cieux,
De toutes ces déesses aux charmes si précieux,
Qui allient au corps pur une âme bien sereine,
Pour toutes celles-là il n’y a q’une reine.
Tu es Zeus-père la femme légitime,
Mais tous ses adultères devinrent tes intimes,
Quelle cruelle ironie déesse du mariage,
Que ton mari t’offrit d’incessants cocuages.
Pourtant de tant d’atouts la nature t’a doté,
Seul un aveugle fou pourrai nier ta beauté,
Et lorsque ton mari t’accordera ses caresses,
Les fruits de vos amours furent de grands dieux de Grêce
Mais combien, Ô Héra, furent grandes tes colères,
Envers celles qui à Zeus avaient malheur de plaire,
Et lo ou bien Léto ou encore Sémélé,
Ont vu que leur amour à l’horreur s’est mélé.
Ô toi que l’on surnomme Héra aux yeux de vache,
Qui devant tes fureurs se lâche,
Qui face à ta grandeur saurait bien s’imposer,
Lorsque l’on sait qu’à Zeus tu osais t’opposer ?
Incomparable Héra, moins déesse que femme,
Liée comme tant d’autres à un mari infâme,
Mais qui décélerait une once de faiblesse,
Au fond de tes grands yeux ou plonge la noblesse ?
Poème de Alexandre-Glaucos:
http://poemes.iceteapeche.com/poemes/Alexandre_glaucos/divers/29299_Portrait_Olympien_9_Hera.php
Manon Laz.
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